Mercredi 13 mars 3 13 /03 /Mars 13:49

Je me souviens ce moment comme un de ceux qui m'ont apporté le plus de frissons. C'était tout simplement savoureux.

J'avais rendez-vous avec une femme rencontrée sur un site de rencontre commençant par G. Nos discussions étaient claires sur nos intentions. Nous étions tous les deux très chauds pour du sexe, mais comme d'habitude dans ce genre de cas, il fallait d'abord qu'on se rencontre. Nous avions donc rendez-vous à Dardilly, à coté de Lyon, dans un restaurant japonais. Arrivant après elle, je suis entré dans le restaurant et l'ai localisée assez vite. Elle était assise à une table devant laquelle circulait un tapis roulant avec des plats dessus. L'avantage de cette disposition était que nous allions être cote à cote, et comme elle avait choisi une table un peu en recul, mon imagination ne fit qu'un tour...

Quand je l'ai saluée, j'ai tout de suite remarqué cette jupe mi cuisses noire, ces bas, des escarpins, un chemisier sous lequel je pouvais aisément deviner les formes de ses seins. Nous nous sommes assis et avons engagé une conversation sympathique, sur le ton de la plaisanterie. Il fallut quelques minutes pour que nous comprenions, par signe, les envies de chacun et surtout le fait qu'on avait envie de les partager. Alors sans hésiter, j'ai commencé à caresser son dos, sa nuque, ses reins et l'ai embrassée. Voyant qu'elle se laissait faire, qu'elle appréciait, ma main s'est glissée sur ses jambes, et alors que nous mangions tranquillement, j'entreprenais de visiter ses cuisses, découvrir ses jambes. au creux de l'oreille, je lui ai demandé d'écarter les jambes. Elle m'a regardé bien dans les yeux, a souri et a écarté les cuisses. Ma main a aussitôt glissé entre ses jambes et s'est déplacée vers le haut. Le crissement délicat des bas s'est transformé en peau douce et je suis arrivé lentement au contact de son string, humide déja. Autour de nous, un groupe fêtait un anniversaire, d'autres personnes discutaient football. J'ai lentement écarté le tissu pour caresser son sexe mouillé. Elle a ouvert un peu plus les cuisses et j'ai caressé ses lèvres, son clito, lui glissant gentiment un doigt. Elle a frémit, s'est bloquée quelques secondes. Elle pétillait d'envie, elle tremblait d'excitation. J'allais et venais en elle doucement, caressant ce sexe offert. Cela a duré quelques minutes, et elle m'a demandé si on pouvait quitter les lieux. j'ai laissé ce sexe mouillé et lui ai tendu mes doigts humides deson jus. Elle les a léché doucement et nous sommes sortis.

Le parking de ce restaurant est assez petit et ma voiture, un espace à l'époque, était garé à peine dix mètres devant l'entrée. Je l'ai prise par la main et lai emmenée près de ma voiture, ai ouvert la porte arrière et l'ai invitée en souriant. Elle savait qu'on risquait d'être vus, mais tant pis. Elle s'est assise à l'arrière, je l'ai rejoins, et j'ai repris mon jeu de caresses, mais cette fois-ci en écartant bien plus ses jambes, l'offrant à mes caresses plus franchement. Jupe relevée, jambes largement écartées, je l'ai léchée et doigtée quelques instants avant qu'elle ne me repousse et ouvre mon pantalon. Elle s'est jetée sur mon gland avec l'avidité d'une femme gourmande et amatrice de fellation. à quatre patte, la tete allant et venant sur mon gland, elle avait les fesses nues dressées près de la fenètre. J'en riais presque, de la voir exhiber son superbe séant ainsi. Des personnes sortaient du restaurant et j'ai bien vu qu'ils détournaient le regard pour ne pas nous voir.

Quand elle est venue s'assoir sur moi, elle était tellement excitée, désireuse de s'empaler sur moi, que je l'ai dévêtue sans souci. Elle s'est mise à rebondir sur moi, s'enfonçant profondément à chaque fois. Quand elle a joui, elle a crié, gémis, et comme si ça ne suffisait pas, s'est remise fesses en l'air pour me finir dans sa bouche. Elle a tout avalé goulument et ce n'est qu'après tout cela, qu'elle s'est posé la question de savoir si oui ou non, on avait pu la voir.

J'ai adoré cette pause sushi.....

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Mercredi 13 mars 3 13 /03 /Mars 13:47

C'était un vendredi après midi d'été, il y a trois ans. Le soleil brillait, la ville souriait, tout allait pour le mieux.

Je me rendais alors chez Botanic, à Villeurbanne. Pourquoi donc, me direz-vous ? Pour rencontrer une dame, dans la partie en mezzanine très sympa qui accueille la restauration. Il s'agit, pour ceux qui ne connaissent pas, d'un endroit charmant ayant plusieurs avantages.

Déjà, peu de gens y affluent. En effet, il est quand même rare d'entendre dire "eh, viens je te paye un café chez Botanic !".

Ensuite, c'est un endroit charmant et odorant. On est au milieu des plantes et c'est très agréable.

Pour finir, les tables offrent une proximité tout à fait propice aux mains qui veulent se toucher.

Avec la dame que j'allais rencontrer, nous en étions à notre troisième rencontre. Elle était plus âgée que moi, mais ce genre de détail n'a guère d'importance pour moi. Elle était très bcbg d'aspect, ce que j'aimais beaucoup d'ailleurs.Elle avait de longs cheveux noirs bouclés, des yeux noirs pétillants et, d'après mes perceptions de ses courbes, avait une poitrine fort bien pourvue. Elle était un peu ronde, mais cela aussi, m'importait peu...

 Nous nous sommes retrouvés, avons repris nos discussions, mais cette fois-ci, ma main a vite rejoint la sienne et quelques minutes plus tard, nous étions lèvres contre lèvres. Nos langues se sont entrechoquées, cherchés et mélangées. Très vite, l'endroit nous a semblé peu adapté à nos envies, et le temps imparti à notre rencontre arrivait à sa fin, ma chère partenaire devant aller chercher son grand fils. Nous sommes donc descendus dans le parking et avons siégé dans son 4x4. Mais rien n'était terminé pour autant. J'ai rapidement posé ma main sur sa cuisses, remonté sous sa jupe et sentit l'envie en elle. Mais elle voulait résister, prétendait que le temps lui manquait. Puis elle m'a rappelé que la voiture était garée à dix mètres de l'ascenseur, que l'on pouvait nous voir. Alors, sans hésiter, j'ai pris sa main et l'ai posée sur la bosse de mon pantalon. Mon sexe était un peu dur et sa main me stimula. Mais l'effet sur elle fut alors très étonnant. Elle fut prise d'une grande inspiration, ferma les yeux en se cambrant un peu. Ma main glissa entre ses cuisses et je pus vérifier, par l'humidité de son string, l'envie qui était en elle. Alors sans hésiter, toujours joueur, j'ai ouvert mon pantalon et lui ai mis mon sexe dans la main. Elle avait l'air surexcitée, elle tremblait dans tous les sens. Elle a baissé le regard sur mon sexe qu'elle branlait déjà naturellement et se pencha d'un coup sur moi. Sa bouche goba mon gland dans un premier temps, serrant avec les lèvres, puis elle se mit à me prendre dans sa bouche en cherchant à m'y mettre en entier. C'était incroyable ! Elle était excitée, comme une folle, elle me suçait sans s'arrêter, comme si on l'avait privé d'un tel plaisir depuis trop longtemps. 

Je tiens à dire à ce sujet que c'était l'une des meilleures fellations qu'on m'ai jamais faite. Sa bouche était d'une douceur et d'une fermeté que j'aurais volontiers déversé mon jus dedans.

Après quelques instants, je l'ai retiré de mon sexe, presqu'en forçant, et l'ai convaincue d'aller se mettre un peu plus loin, pour faire d'autres choses. Et là, plus question de partir chercher son grand. De sa bouche même elle m'avoua qu'elle en avait trop envie, qu'il attendrait bien !

Nous avons été plus loin et sans attendre elle s'est jetée sur moi pour me reprendre en bouche. Une telle gourmandise ne pouvait que me plaire. J'en profitais pour la doigter un peu. Puis, toujours excitée comme une puce, elle s'est redressée, j'ai enfilé un préservatif et elle s'est assise sur moi. Son visage s'est décomposé, comme si c'était une libération, une jouissance totale de se faire pénétrer ainsi. J'ai aussitôt déboutonné son chemisier et ai libéré ses beaux seins pour les caliner un peu. Elle s'est mise à me chevaucher comme une folle, elle était en tel état de manque qu'elle ne me voyait presque plus. Mon sexe entrait en elle comme dans du beurre tellement elle était humide. Ses yeux se révulsaient de plaisir et rapidement elle a hurlé de plaisir. j'ai pu à loisir la prendre et continuer pour moi-même jouir en elle. 

Elle a mis dix bonnes minutes à s'en remettre. Elle était rayonnante, radieuse, et a put finalement aller chercher son fils l'esprit plus détendu.

Pour la petite histoire, en partant, nous nous sommes rendus compte que la voiture était garée juste dessous une caméra de sécurité du parking.....

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Mercredi 13 mars 3 13 /03 /Mars 13:45

Connaissez-vous les bords du Rhone, à Lyon ? Non ? Alors laissez moi vous offrir un topo bref, mais assez clair.

Les bords du Rhone ont été aménagés en quais de balade, longeant le fleuve. On y croise des péniches, des canards et autres volatiles, des joggers et joggeuses, et beaucoup de marcheurs. En fait, les weekends, il est très courant de se retrouver au milieu d'une foule béate de pouvoir profiter d'un brin de soleil, s'imaginant déjà au bord de la mer.

Mais sur cette balade, il est des coins moins connus, plus cachés et qui permettent pas mal de choses...

C'est làque j'ai eu le plaisir de marcher en compagnie d'une femme mariée cherchant .... le contact. Disons qu'après de longues années de mariage, elle s'était rendue compte qu'une chose lui manquait : du sexe pur et simple. Alors vous comprendrez qu'en preux chevalier, je l'ai immédiatement secourue...

Sous un pont, dans un endroit un peu dissimulé, nous nous sommes assis et je lui ai offert mes caresses, ma langue et mes doigts. Je me suis glissé entre ses cuisses, la faisant largement rougir, et je me suis permis un cunilingus tout en douceur. Ce qui me fait sourire, dans cette anecdote, c'est le souvenir de cette femme bcbg qui se retrouvait soudainement jupe relevée dans un lieu public, ayant le regard des gens sur elle sans qu'ils ne sachent ce qui se passait plus bas. Je me souviens encore ses yeux brillants au fur et à mesure que le plaisir montait, et le moment fabuleux où elle s'est tendue dans la jouissance, se retenant de crier, de gémir, faisant en sorte que les gens qui pouvaient la voir ne se doutent de rien.

Une fois fini, nous sommes repartis tranquilles.

Oui, les bords du Rhone, c'est très sympathique, je confirme...

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Mercredi 13 mars 3 13 /03 /Mars 13:44

Pourquoi Stories....?

Pourquoi pas, serait ma première réponse....

Libertin dans l'ame, j'ai, comme beaucoup d'hommes, tenté l'aventure fabuleuse de l'adultère, cette forme incroyable de rencontre qui apporte tant de bonnes choses... Enfin, quand on y arrive... Car comme tout homme qui se lance dans cette aventure, je suis parti avec toutes les idées préconçues que l'on vous présente sur la toile, ce fameux générateur de "tout et n'importe quoi" qu'est internet. Aussi, pour moi, était-il évident qu'au bout de deux jours, j'allais avoir un carnet d'adresse rempli de numéros de femmes qui en voulaient à mon corps de façons sulfureuses....

Oui, c'est souvent comme ça que ça commence, et c'est peu de temps après que les désillusions commencent...

Pourquoi Stories ?

Parce qu'après quatre ans de recherche et bien peu de réussite par rapport à l'énergie dépensée, je reviens à ma base. Ma base est composée de mots, de phrases, de celles et ceux qui font vibrer, qui animent les corps. Le rêve au travers des mots, des photos.

Stories est un moyen de vous raconter des choses, des vraies, des moins vraies, et de vous inviter à les raconter avec moi. Car une vraie bonne histoire se raconte à deux, ou plus, à voir.....

Par stories
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